Après la bonniche noire de DSK, la gourdasse blanche de Zemmour!

Bonjour tout le monde, c’est Marcel! Je viens d’en apprendre une belle: Zemmour serait un obsédé de la quéquette! Décidement, on ne peut plus se fier à personne, et heureusement que les bons media comme entre autres LIBERATION, ont le don pour nous informer de crimes abominables qui datent d’à peine 15 ans! Ca évite de trop se poser de questions sur le nombre de flics égorgés, le nombre de femmes violées, etc etc. Ca évite de stigmatiser!

Donc une gourdasse de gauche, on s’en serait douté, s’est souvenue hier qu’il y a une quinzaine d’années Zemmour aurait tenté de l’embrasser! De force bien sûr, car une gouinasse ne se laisse pas bécoter par un mâle, c’est évident! Il lui aura tout de même fallu 15 ans pour découvrir qu’elle a été quasiment violée et ne s’en remet pas, c’est un record! Bien sûr le fait que ceci tombe au moment où Zemour est présenté comme un candidat à la candidature à l’Elysée, avec qui plus est la certitude d’y avoir un excellent score, n’est qu’une coincidence! Moi je sais pas trop, mais à voir la photo elle semble avoir un goût prononcé pour les hommes à la tête de sadiques, mais je ne juge pas bien sûr!

Comme disait le Gustave, « avec la gueule qu’elle a aujourd’hui on imagine qu’il y a 15 ans elle aurait fait une excellente Miss Cochonaille, Zemmour manque de goût, c’est pas bon pour un président ça! »

Et j’ai du expliquer au Gustave qu’il y a eu le coup de la bonne femme de Fillion qui nous a fait avoir Macron, eh bien voici le coup de la quéquette de Zemour qui va nous faire avoir macron-bis! On ne change pas une combine qui gagne, non?

La douce Germaine en a remis une couche « Après la bonniche noire de DKS, voici la pétasse blanche de Zemmour! Tous ces hommes n’ont donc du goût que pour le boudin? »

Je lui laisse cette excellente conclusion et souhaite à Zemour du courage: Mais avec du bon sens il devrait s’en tirer sans mal en déclarant simplement que son genre de femme c’est plutot Marianne et non pas Cochonette!

Marcel Berrichon